Gallia Romana
Notice
| Ville | Arles (Bouches-du-Rhône, 13) |
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| Sujet(s) | |
| Auteur(s) | |
| Support | Imprimé |
| Date | 1616 |
| Inscription | |
| Références | Zinzerling 1627, p. 183-184 |
| Bibliographie | Bernard 1859, p. 1-14 ; Constans 1921, p. 278-297 ; Gros 1996, p. 292-293 ; Lemerle 2005, p. 89-90 ; Rothé/Heijmans 2008, p. 287-301 |
| Remarques | |
Transcription
Bernard 1859, p. 1-14 ; Constans 1921, p. 278-297 ; Gros 1996, p. 292-293 ; Lemerle 2005, p. 89-90 ; Rothé/Heijmans 2008, p. 287-301
Le collège d’Arles fut installé à l’emplacement de la scène du théâtre, avant de céder la place en 1664 au couvent de la Miséricorde ; le théâtre ne fut identifié en tant que tel que dans la seconde moitié du XVIIe siècle
« Porticus duo structuræ Romanæ pro Carmelitarum Cnobium. [ ]In collegio duæ stant columnæ opus Romanorum, & saxum prægrande, quod alii credunt aram illam latam fuisse. Non procul hinc abest turris in qua Dianæ supplicarunt prisci. Et turris insuper alia, ad quam vsque eluvies aquarum pertigit olim, vt interi[184]tum vrbis metuerint incolæ. Sub turri hac 5. ostenduntur portæ triumphales Romanorum, nunc obturatæ. »
= « Dans l’intérieur même de la ville, on voit ] deux portiques de construction romaine près du couvent des Carm<élit>es. [ ] Il y a dans le collège deux colonnes, ouvrage des Romains et une grande pierre qu’on regarde aussi comme l’autel de Diane. Non loin est la tour où les anciens adressaient leurs prières à la déesse. On y voit encore une autre tour jusqu’au pied de laquelle l’élévation des eaux parvint une fois, de sorte que les habitants craignirent pour le salut de leur ville. [211] Au-dessous on rencontre cinq portes triomphales romaines, aujourd’hui murées. » (trad. Bernard 1859, p. 210-211)